Ces fascistes qui nous gouvernent…

Je suis à lire la proposition de Traité pandémique de l’OMS. Il s’agit d’un texte nébuleux mais qui laisse planer un putsch planétaire sur la souveraineté des états, tout ça dans le plus assourdissant silence médiatique. Mais rien ne me surprend plus. Le fascisme avance à visage découvert et la répression qui s’accentue de jour en jour augure des moments sombres de l’histoire de l’humanité.

J’ai longtemps soupçonné les gouvernements du monde d’être à la solde d’une entité maléfique. Et les collabos – les journalistes – qui s’acoquinent avec ces canailles devront un jour payer leurs crimes à même leur sang.

Le monde est mûr pour une hécatombe cataclysmique. Nietzsche nous avait déjà prévenus de la chute imminente. Nous y sommes.

Soyons clair. Les états-nations ne sont plus que des coquilles vides qui ne servent plus qu’à réprimer et à tyranniser les populations. Les politiciens contemporains tous partis confondus ne sont que des pions sans âme et de mafieux opportunistes. Cette découverte ne m’est pourtant pas inconnue.

J’ai toujours conspué les politiciens modernes. L’arnaque de la « démocratie représentative » a fait son temps. Il faut maintenant passer à une approche plus « convaincante ». Emprisonner les dissidents politiques, refuser des soins aux personnes s’opposant à la dictature vaccinale. Même le Prince Charles, reconnu pour sa haine des régimes libres, a exigé des états une approche plus militaire. Pierre-Eliott Trudeau l’a fait il y a plus de cinquante ans. Pourquoi ne pas récidiver?

Toute l’information qui circule à chaque seconde dans le monde est infectée par un mal identifié jadis par Hannah Arendt : le conformisme.

Ainsi, la présence d’un homme profondément vicieux et sadique à la tête de la santé publique québécoise ne devrait surprendre personne. Horacio Arruda est sans contredit le Docteur Mengele du Québec. Il dispute la première place de la cruauté et de la rapacité avec Anthoni Fauci. Ces deux-là feraient rougir d’envie les expérimentateurs nazis!

Comment se fait-il qu’un homme aussi dépravé, aussi sadique, puisse diriger la politique sanitaire du Québec? La réponse est simple : Arruda est un agent infiltré de l’Organisation mondiale de la santé.

En deux mil cinq, les états membres de l’OMS ont signé le Règlement sanitaire international, cédant ainsi à une entité non élue et financée presqu’exclusivement par Bill Gates leur souveraineté nationale. Le Québec, n’étant qu’une minable petite province de colonisés, n’a donc jamais été de la partie.

À examiner en détail la posture d’Arruda, on dénote une envie maniaque de contrôle. Sa gestuelle, son regard d’épervier, ses menaces continuelles envers une population québécoise infantilisée depuis plus de quarante ans sont autant d’indices d’un esprit dérangé et manipulateur. Arruda est un mondialiste. Il porte en tout temps sur son veston son épinglette de l’ONU. Comme il se croit intouchable, il cherche à augmenter son pouvoir coercitif en manipulant l’opinion publique qui n’est que l’écho du mensonge.

La vérité doit faire son chemin dans les consciences pour éclater au grand jour. Arruda payera un jour pour ses crimes. N’en doutez pas.

Cela dit, il faut s’attarder à la structure de ces institutions internationales qui prétendent œuvrer pour le bien commun. Toute la structure mondiale s’érige sur une répression sanglante qui s’amplifiera au cours des mois à venir. En Australie, l’état policier par excellence, les résistants sont emprisonnés ; en Autriche, les dissidents seront forcés de recevoir l’injection – le Saint Graal. Aux Pays-Bas, on tire à balle réelle sur les manifestants. Quand on sait qu’Albert Bourla, Pdg de Pfizer, a refusé de se faire injecter son propre poison, qu’il le refuse également pour ses enfants, qu’il s’est vu refuser l’accès au territoire israélien parce qu’il n’était pas « vacciné », on est en droit de se demander, où sont donc les salauds de journalistes?

Mais nous ne sommes plus dans un état de droit ; les lois actuelles sont donc suspendues et les citoyens devront se faire justice eux-mêmes. Ceux qui croient encore que la liberté leur sera rendue après qu’ils se seront pliés aux injonctions tyranniques des traîtres du gouvernement se trompent.

J’en appelle à la résistance ouverte. Certes, probablement personne, dans une mer d’informations toutes les plus mensongères les unes que les autres, n’entendra ce message. Il est déjà trop tard. En publiant ce court article, je tente de demeurer égal à moi-même. J’essaie de garder la tête haute car les temps à venir seront très durs voire sanglants.

Me battre? Certainement. Contre qui? Le mensonge d’état, les saletés de journalistes qui ont vendu leur âme au diable pour subsister et publier leurs insanités. Comme le peuple québécois est ignare, sous-éduqué et combien inconscient de la menace mondiale qui se concrétise de plus en plus chaque jour, la répression deviendra une partie intégrante du monde. Les citoyens deviendront fascistes et délateurs sans même en prendre conscience. Cela ira de soi de dénoncer un voisin, un ami, un membre de la famille. Cela sera un acte citoyen de refuser des soins et des services aux dissidents. Ne sommes-nous pas en guerre? Mais cette guerre ne se fait pas contre un ennemi invisible ou microscopique. Non. Cette lutte à mort vise les peuples et les individus.

Comme la masse est sottement inapte à comprendre et à prendre la mesure de la menace, elle est donc vouée à disparaître. Vos amis, les membres de votre famille, vos connaissances, vos voisins, tous finiront par mourir très bientôt. Vous devez vous préparer à des deuils à répétition, à voir la mort en face à tous les jours, à accumuler les morts et les chagrins. Bref, vous devez vous préparer à mourir.

L’OMS est à élaborer la dernière partie du stratagème consistant à asservir l’ensemble des hommes. Certes, la résistance se battra de façon courageuse et honnête. Mais l’ennemi est trop puissant, tout simplement parce qu’il a embrigadé des centaines de millions d’Adolf Eichmann. Et ceux-ci n’attendent qu’une seule chose : se venger d’avoir été torturés pendant deux ans. Et les résistants payeront de leur vie cette terrible vengeance.

Une dernière chose. J’ai écrit depuis trente ans sur un ton ludique et en utilisant toute l’incroyable beauté de la langue française. Honnêtement, je n’y arrive plus. Je suis à rédiger un essai intitulé Lâches, Traîtres et Collabos – Technofascisme et carnavalisation. Je ne sais vraiment pas si j’aurai le temps de le terminer avant l’hécatombe. L’avenir le dira…


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